Pioché au hasard lors d’une de mes incursions à la Maison de la Presse de la ville d’à côté, je me suis régalée avec ce roman à quatre voix qui nous entraîne de l’Italie du XVIIe siècle à La Défense au XXIe.
Le lien entre Giuseppe, Lazlo, Lucie et Charles est fait de musique, de notes, de violons et de quête de soi.
Le style est léger comme une fugue, les différents destins s’enchaînent tels les mouvements d’une valse. On s’attache aux héros, avec l’espoir qu’ils surmonteront leurs blessures et trouveront le bonheur, grâce à ce violon fantastique qui traverse les siècles et leurs vies comme un talisman promettant le bonheur.
Lecture de vacances exquise !
Anne-Sophie