« There could be no wearing of clothes without their laudering, just as surely as there could be no going without clothes, not in Hertfordshire anyway, and not in September. Washday could not be avoided, but the weekly purification of the household’s linen was nonetheless a dismal prospect for Sarah.«
Ce qui, dans la langue de Molière, donnerait à peu près : « De même qu’il était impossible de se promener sans habits, de même on ne pouvait pas porter des habits sans les laver, en tout cas pas dans le Hertfordshire, et pas en septembre. Le jour de lessive ne pouvait pas être évité, mais le nettoyage hebdomadaire du linge de maison était néanmoins une perspective lugubre pour Sarah.«
Figurez-vous, mes chères petites souris, que ce roman était sur ma liste-de-livres-à-acheter-puis-à-éparpiller-pour-que-Mari-Chéri-les-trouve-progressivement, quand, le premier jour des vacances, ma petite Maman me l’a offert comme cadeau souvenir de son voyage en Ecosse ! Top top top !
Imaginez donc : Orgueil et Préjugés narré du point de vue des domestiques, bref, Jane Austen à Dowton Abbey ! Lire la suite « Longbourn – Jo Baker »