Vous connaissez, chères p’tites souris, mon amour des beaux albums.
Vous connaissez, chères p’tites souris, mon amour des beaux albums.
« Dans la salle à manger de notre maison de famille, au-dessus de la cheminée, trône une peinture que j’adore depuis toute petite. Mon grand-père y est vêtu d’habits militaires rutilants et ma grand-mère porte une magnifique robe espagnole. […] Leurs yeux sont braqués vers la terrasse ombragée de la maison et semblent regarder l’horizon. Mon grand-père a confié à ma grand-mère que c’est ici même, en regardant le soleil se coucher et teinter d’or le ciel et la mer, qu’il a pris la décision de quitter son Espagne natale pour les Amériques… »
Mêlant, comme ils savent si bien le faire, sens des détails très réalistes et images poétiques, Fred Bernard et François Roca nous offrent avec Soleil Noir un excellent album à l’histoire passionnante et aux superbes illustrations.
Lire la suite « Soleil Noir – Fred Bernard et François Roca »
« Les enfants ne disparaissent pas comme ça. Aucune trace sur la neige. Quelqu’un, ou quelque chose, avait dû les prendre, mais quoi ?
Quatre saisons s’écoulaient au pays du Grand Blanc :
Celle de la neige au-dessus des bottes.
Celle de la neige à la taille, quand les humains marchaient en raquettes.
Celle de la neige jusqu’au cou, quand les humains se déplaçaient dans des tranchées.
Celle de la neige par-dessus la tête, quand les humains progressaient dans des tunnels. »
Je vais vous présenter aujourd’hui un album absolument superbe, à mettre dans les mains de tous les lecteurs, sans aucune limite d’âge ! Une histoire d’amitié, de courage, de guerre. Lire la suite « Anya et Tigre Blanc – Fred Bernard et François Roca »
Bonjour, bonjour !
Un nouvel album, conseillé par Noëlle, pour vos enfants : très différent de celui de la semaine dernière, nous voilà cette fois-ci transportés à l’opéra, avec une gracieuse petite ballerine et un automate délaissé… Bonne lecture, et merci Noëlle pour cette belle découverte !
Plié, levé…Comment était-ce ?
Arabesque ? Un porté ?
Porté qui déjà ? Comment ?
Au fond de la malle, Hermès cherche à se souvenir…
Le visage plein de grâce du petit rat de l’opéra qui le dévisage, lui parle, l’expose de nouveau au grand air, à la lumière perdue, ravive doucement les souvenirs de la tête d’automate.
La malle se referme.
Les visites régulières de la petite danseuse sont un petit vent de fraîcheur qui font danser la poussière autour du visage de la mécanique abandonnée. Mémoire d’un rond de jambe, plaisir d’un saut de chat, la petite musique joue de nouveau.
Qu’il est bon de se rappeler. Lire la suite « Rose et l’automate de l’Opéra – Fred Bernard et François Roca »