La vie des autres

Qu’Allah bénisse la France – Abd Al Malik

AllahBonjour, bonjour !

Je vais aujourd’hui partager avec vous un article qui m’a littéralement emballée cette semaine, une superbe critique du livre « Qu’Allah bénisse la France », sur le blog Une chambre à moi que je vous recommande vivement d’aller découvrir, sauf si vous avez une pile de dossiers à écluser, une montagne de repassage à terminer, des enfants à nourrir ou tout autre tâche vitale à accomplir. Dans ce cas, n’y allez surtout pas ! Mais si vous êtes au milieu de l’Himalaya, sur une île déserte au milieu du Pacifique ou coincé dans un train pour cause « d’élément indépendant de la volonté de la SNCF » sans rien d’autre à faire pendant plusieurs heures, alors foncez, régalez-vous mais n’oubliez quand même pas de revenir ici après…

Bonne lecture !

J’ai vu il y a quelque temps la très belle affiche du film, qui va sortir en décembre prochain [article écrit en sept., le film est sorti depuis], inspiré du livre « Qu’Allah bénisse la France », d’Abd Al Malik.

J’avoue que, directement, j’ai eu des préjugés : je ne connaissais pas bien Abd Al Malik, mais pour ce que j’avais entendu de ses chansons, je le trouvais un peu trop médiatisé, un peu préchi-précha, limite donneur de leçons. Et comme je n’aimais pas trop le slam non-plus, ça ne m’a jamais donné envie d’en savoir plus sur lui.

Bref, je me demandais pourquoi on en faisait tout un foin. Lire la suite « Qu’Allah bénisse la France – Abd Al Malik »

Au fil de mes lectures

Les jeunes mariés – Nell Freudenberger

Freudenberger« Amina n’avait pas entendu le facteur, mais elle décida d’aller voir. Au cas où. Si on l’apercevait, on saurait qu’il y avait désormais quelqu’un dans la journée quand George était au bureau. On la verrait courir en pantoufles sans manteau jusqu’à la boîte aux lettres et on en conclurait que c’était chez elle. Elle s’était installée là. La boîte aux lettres était neuve. Amina l’avait achetée sur Internet avec la carte de crédit de George et elle n’avait pas choisi la moins chère. George avait dit qu’il leur fallait quelque chose de solide et Amina avait mis son cerveau bangladais en veilleuse et commandé le modèle rustique très robuste en noir laqué à quatre-vingt dix dollars.« 

Bonjour bonjour ! Voilà une lecture qui m’a pris beaucoup de temps alors que je n’en avais pas tant que ça, et j’ai bien cru même la lâcher à un moment… Et cela aurait été une bêtise ! Lire la suite « Les jeunes mariés – Nell Freudenberger »