Au fil de mes lectures

Les astres brilleront toujours – Pauline Bilisari

Les astres brilleront toujours… et cette lecture ne me quittera jamais.

Certains livres prennent possession un jour de votre coeur, s’y frayent un chemin, résonnent en votre âme. Le roman en vers livres de Pauline Bilisari est un de ceux-là.

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Dis-moi que la vie est belle – Barry Jonsberg

« Mes parents jouent un rôle important dans cette histoire. J’imagine qu’ils se sont aimés à un moment, mais ils n’en parlent jamais. Il y a une montagne de souffrance planquée là-dessous. La tenir à distance est épuisant. Parfois ça m’énerve qu’on m’ait attribué ce rôle sans me demander mon avis. La plupart du temps, ça me fatigue. J’aime mes parents, ce qui est une bonne chose. Mais des fois, je me dis que l’amour ne suffit pas. Je sais qu’il peut faire souffrir, détruire des vies, distordre les caractères des gens jusqu’à ce qu’ils deviennent monstrueux. Parfois, on vivrait mieux sans. Au fond, c’est surtout de ça que parle ce livre. D’amour, de chagrin, et du mystère que sont les êtres humains. Il parle aussi de folie, et de la raison pour laquelle nous en avons tous besoin. »

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La vie de Paloma – Sophie Laroche

🔴 STOP 🔴

Lisez attentivement cet article, SURTOUT si vous connaissez des collégiens.

Je pense que je ne remercierai jamais assez les éditions Fleurus de m’avoir envoyé ce roman !

J’ai littéralement dévoré « La vie de Paloma » (commencé dans le métro ce matin, fini ce soir dans le train !) : Sophie Laroche y décrit à la perfection la spirale d’Instagram, l’attrait que ce réseau social exerce sur les jeunes, l’addiction qu’il peut représenter.

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Entre Dieu et moi, c’est fini – Katarina Mazetti

Mazetti« Cette nuit, j’ai rêvé du mur. Ce mur auquel j’ai parlé tout au long de l’été dernier. « On a vraiment l’impression de parler à un mur » me disaient-ils après m’avoir soûlée pendant trois heures avec leurs trucs. Des trucs de merde, genre qu’ « on » ne sort pas à vélo quand il pleut des cordes et qu’ « on » ne donne passes vêtements aux autres. Et que même si je pense que mon répugnant prof de bio devrait se faire interner, c’est quand même lui qui me donne les notes qui vont rester dans mon dossier scolaire. »

Linnea a quinze ans, c’est « une lycéenne proprette, en bonne santé, bien nourrie, suédoise et même pas anorexique« . Mais elle a quand même besoin de s’enfermer dans le dressing de sa grand-mère, assise sur un coffre à chaussures, pour parler au mur tapissé de papier peint 70’s. Lire la suite « Entre Dieu et moi, c’est fini – Katarina Mazetti »